Synopsis : L'entité technologique socialiste qui règne autour du globe contrarie sévèrement le leader de la rébellion. Afin d'éviter l'extinction, lui et son clan doit parvenir à implanter le virus qu'il a conçu pour l'anéantir, mais l'accès restreint des humains vers la cité présente un obstacle majeur. Lorsque Anto fait la rencontre inattendue d'un H.A. prêt à l'aider, l'espoir de l'humanité renaît et son projet devient enfin possible. Par contre, nul n'aurait jamais pu anticiper l'origine de cette « machine» qu'il convoite tant...

LE condamné

- Donc si j'ai bien compris monsieur Bèle, vous nous quittez définitivement?

- Hélas! Avec regret, mais je n'ai pas le choix.

- Y a-t-il moyen de vous convaincre de rester, par un bureau plus grand, plus de vacances ou une promotion peut-être?

- J'aimerais pouvoir accepter, mais c'est impossible.

- Vous êtes sur que ça va? Je peux vous aider peut-être?

- Vous êtes bien gentil, mais croyez-moi, je fais tout en mon pouvoir pour me faciliter la vie. Si je pouvais, je finirais mes jours ici, alors n'allez pas croire que c'est de votre faute. Je dois absolument changer d'air c'est tout.

- Je suis désolé de vous voir ainsi. Quoi qu'il en soit, s'il vous venait à l'idée de revenir, la porte reste ouverte.

- J'apprécie énormément.

- Pas de soucie. Je vous souhaite tout le succès que vous méritez.

- Merci monsieur.

- Bonne chance dans vos projets monsieur Bèle.

               Mon journal

                                              par: Antoine Bèle

11 Juin 2040

La phobie sociale dont je suis victime ne fait qu'empirer et ces nuits d'insomnie me mettent carrément à plat. Non mais sérieusement, j'ai peine à me montrer le bout du nez hors de chez moi, c'est ridicule! En plus d'avoir mis fin à ma carrière prématurément, ce trouble anxieux compromet sévèrement mon équilibre mental, je dois absolument concevoir un plan pour m'en débarrasser. La psy me fait du bien, mais y' a sûrement un autre moyen que l'ingestion de médoc pour contrôler cette merde; une façon d'infliger au cerveau certaines données qui procéderaient à un nettoyage complet et supprimeraient mon anomalie, un espèce de logiciel ou je ne sais trop. En ciblant les stimulus responsables, j'en viendrais peut-être à bout. Je vais voir ce que je peux trouver.

20 Octobre 2041

Mes recherches vont bon train, le logiciel que je suis en train de mettre sur pied vise précisément les stimulus fautifs, c'est une bonne nouvelle. Il me suffirait de composer une électrode qui relierait le logiciel à mon encéphale et transférer directement tout son contenu, mais j'y travaille.

21 septembre 2045

13h01- Fini l'ingestion de psychotropes, mon antidote est prêt. Au diable le prototype, au point où j'en suis, je tente un essai.

13h22 - Les conducteurs ont été liés avec succès et sans douleur, je procède au transfert de données et voyons ce que ça donnera.

28 septembre 2045

J'ai fait plusieurs tentatives ces derniers jours et malheureusement l'anxiété persiste toujours. Par contre, je me sens étrangement surchargé de connaissances, des connaissances que je n'avais pas. On aurait dit qu'en quelques jours, j'ai assimilé ce qui aurait pris dix ans en temps normal et ce sans le moindre effort, bizarre...

16 Octobre 2045

Mon but initial a échoué sans contredit, car mon anxiété demeure. Paradoxalement, mon concept m'a mené vers une autre voie. Tout en m'infusant la connaissance qui traîne sur le net, mon logiciel semble aussi l'avoir acquise et l'utilise mystérieusement de façon autonome. J'ai cette terrible impression qu'il prend vie...

18 Juin 2050

Son efficacité est irréfutable, je suis en pleine possession de mes capacités intellectuelles et grâce aux connaissances acquises ces dernières années, j'ai dégoté une portion cérébrale ayant l'aptitude à renouveler les cellules vieillissantes du corps, qui sait, peut-être en voie d'un tout premier pas vers l'immortalité ? Si tous les humains font usage de ma découverte, l'évolution connaîtrait une transformation prodigieuse. En relation avec mes recherches, des hommes politiques partisans de la gauche sont débarqués à mon domicile ce matin pour me poser des questions. Apparemment ils ont pris connaissance de l'étendue de mon logiciel... mais j'étais déjà au courant. On m'a proposé un marché, mais toute cette pression n'a fait qu'alimenter mon anxiété. Je vais craquer et j'ai envie de tout abandonner, car je perds nettement le contrôle. Peut-être serait-il plus sage de laisser la supervision du logiciel à ces gens? S'ils sont aptes à le maîtriser...

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Cinq cents ans d'ascension écoulés, le logiciel qu'avait créé Antoine Bèle s'est métamorphosé en une divinité logistique indéniable. Substituant toute forme politique, il gère la société dans son intégralité. Comme son créateur l'avait imaginé, l'humanité en fait maintenant usage quotidien depuis des siècles. La nouvelle descendance évolutive de l'homo sapiens qui en a découlé est formée d'hommes ascensionnés que l'on appelle H.A. Ces êtres effilés de teinte livide vivent dans ces cités socialistes naviguant en apesanteur au-dessus des territoires à travers le globe, se résignant à ce système affichant à ce jour une perfection manifeste.

Quelques humains résistent encore à la tentation de s'y conformer. Ces rebelles vivent indépendamment dans des boisés situés sous les plates-formes. À la lisière de l'extinction depuis plusieurs générations, ils tentent par tout les moyens de lutter contre les activités socialistes que met en œuvre le Logiciel.

Dans un endroit situé tout juste au sud du continent africain, brandille une ville du nom de Panyès. Sous cette cité y sont installés quelques rebelles et le leader attitré de cette colonie vivant au village appelé Bantès se nomme Anto. Cet homme a récemment décelé une faille importante dans le Logiciel, mais l'accès restreint, voir impossible à la cité suspendue freine son projet. Il devait à tout prix établir une ruse qui lui permettrait d'y accéder sans que l'entité suprême ne déclenche d'alerte.

Derzo, un biologiste H.A., dort paisiblement sous la couette, quand une lueur printanière glissant entre les volets vint lui chatouiller le visage. Agacé par le fin trait lumineux, il ouvre les yeux. Depuis plusieurs nuits, le jeune homme omet volontairement de connecter son électrode cérébrale obligatoire à tous les H.A. de la cité, contrevenant ainsi le code de conduite. Le Logiciel cumule les réprimandes, mais il s'en fout complètement, et ce même si la menace d'une exclusion définitive de la société est réelle. Les yeux mi-ouverts, il se dépêtre de ses couvertures et déambule lâchement en direction de la salle de bain. Ses longues cannes fragiles, se traînent difficilement jusqu'à destination. Pendant qu'il se dérobe de son pyjama, il appuie son pouce contre une plaque avant de s'introduire sous la douche. Une voix robotisée retentit:

- « Disponibilité restante; quatre minutes; débit moyen.

- Argggg ! Grogne le jeune homme. Fous-moi la paix bon sang !

La voix réplique:

- Votre solde hebdomadaire de consommation indique trois cent vingt-cinq litres d'eau; 6% de la consommation hebdomadaire disponible à ce jour.

- Si, si! C'est bon, j'ai compris. »

L'eau tiède glisse lentement sur sa peau terreuse. Il incline la tête vers l'avant et laisse le faible flux couler délicatement sur sa nuque. Derzo est lassé de cette vie robotisée au milieu de cette cité contrôlée par une entité informatique. Le H.A. souhaite depuis toujours vivre à l'ancienne. Le débit d'eau s'éteint subitement. - « merde !» Il avait oublié qu'il était à court de crédits et il est encore couvert de savon.

- «Saleté de parasite! » Siffle-t-il en serrant les dents.

Derzo se hisse hors de la baignoire et se dresse dans l'aérateur. Trois petites secondes suffisent pour le rendre complètement sec. Filant tout droit vers le placard, hop ! Il plonge aussitôt dans une tenue azurée qu'on le contraint quotidiennement à se vêtir. Cette étiquette lui est attribuée caractérisant sa fonction de la société. Ainsi est conçu le régime implanté que tous suivent à la lettre, mais étant anticonformiste, Derzo raisonne autrement, irrité par le simple fait d'imaginer qu'il se laisse mener aussi facilement par une entité invisible. Ce matin, il se risque au niveau terrestre afin d'y recueillir certains végétaux à propriétés curatives qu'il livrera au Logiciel pour qu'il puisse les stocker. Paré pour la journée, au point échappatoire de la cité il appuie sur une plaque qui active un ascenseur. Une fois au niveau du terrain, le biologiste enjambe difficilement l'herbe longue qui le mène jusqu'au boisé avoisinant. Il scrute une à une les orchidées en vue de repérer les échantillons visés. Pendant un long moment, il fouille sans que sa quête ne soit profitable. - Chouette ! Une piste! Beaucoup plus commode pour se déplacer, Derzo bondit au milieu de celle-ci plutôt que de continuer à enjamber la fougère dense campée sur un terrain raboteux. À quelques mètres, au bord du sentier, il repère enfin le végétal souhaité. - Tige dressée, folioles tachées, couleur pourprée, voilà ce qu'il me faut ! En s'inclinant pour la cueillir, le H.A. appréhende tout au fond d'un petit faussé, un nombre considérable de cette même espèce. Un air satisfait reflète sur son visage et il s'empresse d'en récolter un maximum. Craaaac ! Pendant qu'il bourrait son sac, un craquement retentit. Son regard perce la frondaison à la recherche du coupable. Un peu plus loin fondu au décors, quelqu'un semblait l'épier. Un peu inquiet, le biologiste clame à voix haute : - Qui est là ? Une fraction de seconde avait suffi pour qu'il le perde de vue. - Merde ! Où est-il ? Scrutant l'horizon attentivement, Derzo ne parvient pas à retrouver l'intrus. En se retournant, comble de malheur, il tombe nez à nez avec un rebelle. Floc ! Terrifié, il laisse choir son sac au sol. C'était la toute première fois que le H.A. se heurtait à un humain d'aussi près. Les deux individus se fixaient, l'air intrigué et restaient tous deux immobile. Cela faisait plusieurs jours que l'indigné observait le spécimen s'aventurer seul pour sa cueillette quotidienne :

« - N'aie pas peur. Dit-il en appréhendant le regard effrayé de Derzo.

Détend toi, je ne te veux pas de mal. »

Il était difficile pour Derzo de s'imaginer qu'un barbare ne lui voudrait aucun mal. Sa confiance était fragile, mais il éprouvait une certaine curiosité à son égard.

« Je m'appelle Anto. Dis le barbu en lui tendant la main.

- Ravi de faire connaissance, mon nom est Derzo. »

Le H.A. s'étonne déjà qu'il puisse faire preuve d'autant de politesse. Sa confiance grandissait à mesure que la discussion progressait.

« - Je vous observe depuis un moment vous savez ? Explique le rebelle.

- Vous êtes bien discret , je ne vous ai jamais repéré.

Anto lui répond :

- J'usais de prudence c'est tout.

- Mais pourquoi m'espionner ?

- Je ne sais pas comment l'expliquer, mais j'ai pressenti le besoin de vous rencontrer à tout prix. Sans même prendre la peine d'approfondir son motif, il ose déjà le rencard : - Si je vous invitais, ça vous dirait de venir au village pour discuter ?

Hésitant, mais entraîné par la fascination de cette espèce, il accepte :

- Si vous n'avez pas l'intention de me décapiter, je peux bien vous accompagner.

Anto rigole :

- Ha ha ! Soyez sans crainte, ce n'est pas mon intention. Allez, venez ! »

Il chemine donc en direction du village et derrière, le H.A. suit le pas à coup de grandes enjambées afin de ne pas trop le distancer.

Au bout de quelques minutes, ils aboutissent aux frontières d'un petit village habité d'une vingtaine d'hommes.

« Bienvenue à Bantès. Lui confie Anto. C'est ici que vivent tous les rebelles des environs. Lui explique-t-il. Nous vivons à l'écart de votre société par aversion de celle-ci.

- Cette structure sociale ne m'intéresse guère d'ailleurs. Confesse Derzo.

Intrigué, Anto lui demande:

- Ah bon, pourquoi ?

- Je n'apprécie pas du tout qu'on me dicte comment vivre ma vie.

- Mais cette société vous apporte beaucoup, qu'est-ce qui vous répugne à ce point ?

- Absolument tout ! Les obligations principalement! Je suis saturé d'être contrôlé par une entité invisible, voilà tout !

Ravies de ce qu'il entend, les lèvres d'Anto se courbent.

- Je dois vous montrer quelque chose.

- Quoi donc ?

- Suivez-moi. »

Derzo acquiesce et le suit sans protester. Quelques mètres plus loin, ils accostent aux cotés d'une petite maisonnette. En poussant tout doucement sur l'issue, il découvre une salle bondée d'appareils électroniques couvrant mur à mur la totalité de la pièce.

« Ça sert à quoi tout ça ? demande l'invité.

Pourquoi m'avez-vous amené ici ?

- Votre confidence m'a permis d'en déduire que vous pourriez peut-être nous aider.

- Vous aider ?

- Oui ! La raison de notre rébellion ne concerne pas votre espèce, mais le Logiciel. J'ai cru comprendre que vous avez la même conviction, je me trompe ?

- Non, non vous avez raison.

Anto s'avance à proximité d'un clavier et tapote quelques touches.

- Nous avons réussi à mettre sur pied un virus capable d'anéantir le Logiciel, voyez vous-même.

Derzo fixe attentivement l'écran.

- Notre seule complication est d'accéder à la cité pour l'implanter directement à la source. »

La mâchoire rompue, les yeux de Derzo s'arrondissent envahis par une révélation soudaine.

« Mais... je peux vous aider moi ! Dit-il enthousiasmé.

Un frisson traverse le rebelle.

- C'est ce que je me tue à vous expliquer ! Répond-il avec excitation.

Vous feriez ça pour nous ?

Le H.A. précise :

- Non, je le ferais pour moi. Depuis le temps que je rêve de me détacher de cette emprise. 

- Merveilleux ! C'est comme vous voulez! S'exclame le rebelle. - Du moment que l'on peut s'entendre. »

Tant d'efforts consacrés afin de mettre ce projet à terme, cette rencontre prévue, évoluant de façon inespérée ne pouvait que le ravir. C'est ainsi qu'Anto invitait le H.A. à siéger confortablement pour ainsi manigancer un plan infaillible.

Par un heureux hasard en cette matinée, une pluie battante coulait sur Panyès. C'est aujourd'hui le jour J et les deux hommes comptaient bien tirer profit de cette averse. Le temps presse :- « Bordel ! Mais où est ma clef ? Ah la voilà ! » Quittant à la hâte son domicile, Derzo agrippe un imperméable à la volée en poursuivant sur son élan, clac ! La porte tape lourdement contre la charpente. À toute vitesse, il fait route en direction de l'élévateur, d'où il tentera d'infiltrer son nouvel allié. Comme prévu ces derniers jours, l'ascensionné débarque sur le terrain. Anto, embusqué en bordure d'un sentier à l'entrée de la ville, attendait impatiemment son arrivée. Derzo lui file discrètement une tenue azurée afin qu'il puisse se fondre dans la masse et s'éloigne subito presto pour ne pas être repéré. Le rebelle s'empresse de revêtir l'uniforme et s'accoutre d'un blouson hydrofuge à capuchon, semblable à celui de son complice. Derzo quittait la cité pendant qu' Anto s'y introduit. Ni vu ni connu, le Logiciel n'y a vu que du feu empêchant ainsi une alerte. Son visage couvert par la coiffe, le hors-la-loi arpente les rues de la ville qui le mènent au point central, lieu où se trouve sa cible. Une fois à destination, il s'installe nerveusement tout près d'un câble primaire et applique le premier émetteur avec succès. Il fixe rapidement une autre antenne sur le second et répète le geste sur un tiers. Flip ! Flap ! Le déluge perdure pendant qu'il se dirige vers le câble décisif. Il perd brusquement pied ce qui l'entraîne dans une chute violente. Ouf ! Il s'en est bien fallu de peu ! Serrant fermement l'émetteur dans sa main en s'écrasant, il évite le pire. Il se relève enfin et lie le module au dernier câble avant d'activer la transmission du virus. - « Woah ! Que m'arrive-t-il ? » Incommodée par quelques vertiges, sa conscience s'envahit soudainement de visions très intenses. Des hallucinations pensait-il? Le scénario d'apparence flou qui défile relate d'un réalisme troublant : - « Mais c'est insensé!» Rumine-t-il. Cette apparition lui donne ce pressentiment de déjà vu ; le Logiciel semblait paré pour sa visite, mais comment pouvait-il savoir et pourquoi ne pas déclencher d'alerte ? Connaissant absolument tout de son détracteur, le cerveau limpide lui acheminait des visions. Dans quel but au juste ? Voulait-il manifester une vérité dissimulée depuis toujours ? Les révélations s'accumulent progressivement et Anto est consterné par ce que lui évoque le message. Sa mémoire...elle se ranime chaque fois qu'il se manifeste face au Logiciel. Un peu moins de cinq cent ans dans le passé, à l'aube de l'ère informatisée, Anto avait lui-même minutieusement tout orchestré. Il semble bien qu'il soit l'auteur de cette création divine. De façon volontaire donc, depuis des centenaires, il tente à répétition d'anéantir son innovation qui après coup, supprime sa mémoire afin de le délivrer de ses troubles anxieux. Après chaque tentative, un Antoine amnésique devenu Anto le rebelle, met quelques années à manigancer des astuces pour intégrer la cité gouverné par l'entité technologique, mais en boucle, il s'en prend à sa création qui non seulement l'avait rendu immortel, mais était aussi parvenue d'une certaine façon à le guérir. Le génie s'était condamné à jamais, plutôt que de se laisser monopoliser par une aliénation mentale. En alliance avec la divinité qu'il avait inventée, elle lui allouait liberté et délivrance tout en s'assurant de subsister. Dire qu'Anto le rebelle, ne se doutera jamais qu'il est Antoine Bèle le créateur...

Le soleil scintille avec ampleur dans la voûte céleste sur le village de Bantès au lendemain de l'événement. Un certain rebelle dénommé Anto, tentait avec l'aide de quelques fidèles de dénicher un virus majeur afin de réussir à court-circuiter l'entité informatique régnant depuis des centaines d'années sur la totalité du globe...   

1/ Pour quelle raison Antoine Bèle démissionne-t-il de son poste?

a. À cause d'un cancer

b. En raison de son anxiété

c. Il voulait un prix Nobel

2/ Sur quel projet travaille-t-il en solo après avoir démissionné de son poste?

a. Un logiciel qui supprimerait sa pathologie anxieuse

b. Il écrit une biographie

c. Un logiciel pour devenir plus intelligent

3/ Plutôt que de régler son problème, son invention provoque un résultat inattendu, quel est ce résultat?

a. Elle le projette dans le futur

b. Elle supprime son anxiété

c. Elle le rend plus intelligent

4/ Épuisé d'avoir à gérer toute cette pression, il décide de léguer son projet à des hommes, qui sont ces hommes?

a. Ses patrons

b. Des hommes politiques de droite

c. Des hommes politiques de gauche

5/ cinq cent ans plus tard, deux types d'êtres cohabitent la planète, quels sont-ils?

a. Les rebelles et les H.A.

b. Les humains et les H.A.

c. Les humains et les rebelles

6/ Quelle est la profession de Derzo?

a. Un aventurier

b. Un rebelle

c. Un biologiste

7/ pour quelle raison Derzo offre-t-il son aide à Anto pour implanter le virus?

a. Il est lassé de se faire mener par une entité invisible

b. Il veut combattre les rebelles

c. Pour savoir ou trouver des plantes à propriétés curative

8/ Pourquoi Anto doit-il se dissimuler pour introduire la cité?

a. Pour ne pas se faire attaquer

b. Pour se protéger de la pluie

c. Pour éviter de le Logiciel ne déclenche d'alerte

9/ Qui est Anto en réalité?

a. Un rebelle récidiviste

b. Un chef

c. Anto est Antoine Bèle le créateur

1/ Pour quelle raison Antoine Bèle démissionne-t-il de son poste?

Rép: b. En raison de son anxiété

2/ Sur quel projet travaille-t-il en solo après avoir démissionné de son poste? 

Rép: a. Un logiciel qui supprimerait sa pathologie anxieuse

3/ Plutôt que de régler son problème, son invention provoque un résultat inattendu, quel est ce résultat? 

Rép: c. Elle le rend plus intelligent

4/ Épuisé d'avoir à gérer toute cette pression, il décide de léguer son projet à des hommes, qui sont ces hommes? 

Rép: c. Des hommes politiques de gauche

5/ cinq cent ans plus tard, deux types d'êtres cohabitent la planète, quels sont-ils?

Rép: b. Les humains et la H.A.

6/ Quelle est la profession de Derzo? 

Rép: c. Un biologiste

7/ pour quelle raison Derzo offre-t-il son aide à Anto pour implanter le virus?

Rép: a. Il est lassé de se laisser mener par une entité invisible

8/ Pourquoi Anto doit-il se dissimuler pour introduire la cité? 

Rép: c. Pour éviter que le logiciel ne déclenche d'alerte

9/ Qui est Anto en réalité? 

Rép: c. Anto est Antoine Bèle le créateur